The Deuce
La légalisation et l'âge d'or de l'industrie pornographique à Time Square, New York, des années 70 jusqu'au milieu des années 80.
Terminée | Américaine | 59 minutes |
Drame, Historique, Drama | HBO | 2017 |
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2.04 - De grandes ideés
What Big Ideas
Ashley et Abby décident de retrouver l'identité d'une prostituée de 16 ans tuée dans un incendie. Vincent est pour sa part secoué après avoir été témoin des pratiques brutales de Rudy. De son côté, Candy recrute de nouveaux visages pour l'aider dans la production.
Diffusion originale : 30 septembre 2018
Diffusion française :
30 septembre 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Uta Briesewitz
Scénariste.s :
Anya Epstein
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 14 décembre 2018 à 20:32 |
Bon j'aimerais bien poster des avis plus longs mais je n'ai pas le temps ! En attendant je me délecte devant cette série. |
Avis favorable | Déposé le 05 décembre 2018 à 21:16 |
Je retire ce que j'ai dit précédemment : les intrigues des hommes sont très bonnes désormais. Larry est tout bonnement mythique dans son nouveau rôle. L'humour de l'épisode permet vraiment de faire descendre la pression par rapport à l'incendie. Bref, comme toujours, une réussite. |
Avis favorable | Déposé le 16 octobre 2018 à 13:33 |
J'aime de plus en plus the deuce. Il y a dans cette deuxième saison pour le moment un équilibre parfait entre l'humour (Larry qui fait ses débuts en tant qu'acteur porno <3) et le fond, toujours très sérieux et profond, de la série (ici avec la mort de la prostituée mineure, Abby et Ashley sont royales). Une grande série. |
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Critique : The Deuce 2.01
I'll see you again in five years.
The Deuce ou la force tranquille.
Sans forcer, la série continue d’enchaîner les épisodes formidables et captivant. Ici, la quête pour retrouver le nom de la strip-teaseuse est vraiment touchante, elle symbole bien le destin de ces pauvres filles tombées dans l’engrenage de l’exploitation de leur sexualité, au point de ne plus avoir d’identité et d’être réduit à un corps.
Dans un registre plus léger, la trajectoire de Larry m’amuse beaucoup, au point de presqu’oublier quelle pouriture il est.